tomtom ex-soldat du bien qui bascule du coté de demonio

Je me présente. Je suis Tomtom, enfin c’est ainsi que l’on me nomme. Mon vrai nom est caché de tous, car il descend des grandes familles démoniaque.. Il se pourrait même que je sois un descendant direct de Démonio. Mais j’ai longtemps renié mon ascendance démoniaque, préférant me considérer comme un simple humain. Je mis donc ma force au service du peuple humain durant de longues années. Cela me conduisit tout naturellement à rejoindre les brigadiers de la brigade des faucons, j’ai longuement vécu par mis eux, ces derniers n’accordant que peu d’importance à mon hérédité, mais se fiant à mes actions. Je vécus à ce moment là des moments joyeux, aux côtés d’amis très chers. Mais comme l’on dit, tout ce qui a un début a une fin. Ce bonheur n’était qu’une illusion.

Je me rappellerai toujours de ce funeste jour où je partis visiter les carrières de la brigade – j’avais envie de me promener – et où je vis des corps de mineurs à l’entrée. Je m’empressais alors de prévenir la garde, mais celle-ci ne fit rien. Etant après tout un militaire, je décidais d’enquêter sur les lieux. Je revenais donc vers la carrière.

Là-bas, j’avais rendez vous avec mon destin. Là se trouvait deux vampires. Le premier ressemblait à un ancien membre de la brigade, mort depuis peu, Pioux. Quant au deuxième, il s’agissait apparemment d’une servante de Démonio. La présence de Pïoux me surpris, ce dont profita la vampire pour me porter un coup violent, qui me clouât au sol. Elle profita alors de ma faiblesse pour me faire prisonnier et m’emmena au château de la royal. Là, la force de Démonio fut telle que je ne put y résister. Le sang qui était dans mes veines se mit à bouillonner, et je sentis ma vraie nature remonter. Je compris que j’avais jusque là était dans l’erreur. J’en parlais à mes geôliers, et ces derniers acceptèrent de me laisser passer un entretien avec les démons ici présent. C’est ainsi que je me suis retrouvé ici. J’espère donc que vous me laisserez tremper ma lame dans le sang des innocents que j’ai si longtemps protégé.